Mais que la tête, parce que j'ai trop mal au dos pour faire le reste.... Je crois que désormais, la Planète Goulblick ne sera peuplée que de têtes légères en papier mâché. Car, on s'imagine qu'on va refaire le monde, mais il suffit de quelques vertèbres déplacées pour que les rêves courbent l'échine devant la douleur, omnipotente . Alors, adieu les grands formats. On fera ce qu'on peut. Tant qu'on peut. Comme on peut. Et zut.
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